Quand t’arriverais, il n’y aurait pas de porte. Parce que dedans chez moi ce serait dehors. Tu entrerais dans mon petit-grand jardin. Tellement vert qu’en se baissant tu entendrais l’herbe chanter en irlandais.A droite une belle rangée d’arbres. Très grands, très forts. Mais qui sourient pour pas faire peur. Ils nous protègeraient des yeux des…Lire la suite de « Ma maison dedans-dehors »
La lumière change, le rythme ralenti. Seconde indescriptible où la conscience devient et doute encore d’être. Transition étrange de retour vers la vie. Orphelin de lieu, de temps et d’histoire. Puis un œil capte un signe : 7h24. JE émerge. Reconnecter. Qui ? moi. Où ? un très grand lit, le mien, dans ma chambre. Alors le plus…Lire la suite de « Grasse mat’ de Mars »