Evidemment. De mon corps détendu, le doute s’est envolé. La décision surgit quand le cerveau décante.Comme nos chemins s’éclairent dans les noirs de nos nuits ! Évidemment, je pars. Mes lèvres se détendent. Oubliée l’intensité de la question qui ronge. Sourire à la facilité de la décision prise … dans le noir. Dans mon oreille…Lire la suite de « Passager clandestin »
Faire « comme si ». Comme s’ils ne me voyaient pas, comme si aucun ne me regardait, comme si leurs yeux n’étaient pas sur mes fesses, mon ventre, mes hanches, parfois sur mes épaules. J’espère sur mes chaussures. Comme si juste je marchais pour aller quelque part… comme si cette allée n’était pas amputée, absurde,…Lire la suite de « Naomie, Kate, Gonçalo et les autres … »
Il ne bouge pas.Il regarde la mer. Les pieds dans ses tongs, au bout de son petit jardin, il s’offre un tête-à-tête avec l’immense. Pull marin sur vieux jean, parce qu’il fait frais le matin. Sac de toile à la main, parce qu’il prendra aussi un kouign-amann pour ce midi. Il ne bouge pas. Il…Lire la suite de « Ils regarde la mer »